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Mark Andrews est belge

03/08/2006 - Lu 1979 fois
C’est en enquêtant sur un bateau retrouvé près des cotes Britanniques que notre envoyé spécial Lars Tarak a pu découvrir cette hallucinante révélation.

Un bateau Belge coulé en 1814

C’est près des cotes britanniques que « l’Etoile de Molenbeeck » un bateau de la marine marchande du début du XIX a été coulé. Le nom curieux de ce bateau nous a poussé à faire quelques vérifications. En effet, Molenbeeck, situé près de Bruxelles, n’est pas proche de la mer. Après de longs mois d’enquête, nous avons retrouvé des informations sur son propriétaire, un riche marchand du nom de Marc Van De Roose.

Ce riche original a été banni du royaume de Belgique pour avoir continué le trafic d’esclave alors que le bon roi Léopold l’avait interdit. Avant de quitter définitivement la Belgique, il avait enlevé la fille adoptive de son principal rival, le danois Andersen (une des familles toujours à la tête du célèbre groupe « Nielsen & Andersen »).

 

Les SpaceNinjas(.com)  liés à l’affaire ?

Andersen fit tout pour retrouver sa fille que le vil Van De Roose avait violée et assassinée ! Quand le danois l’apprit, il engagea l’organisation internationale du crime pour retrouver et se débarrasser du belge Van De Roose. On dit que le prix de ce contrat était la moitié de l’empire commercial d’Andersen… Il y a-t-il un lien avec la création, quelques mois après de « Nielsen & Andersen » ? On n'a pu trouver aucun lien entre la famille Nielsen et les SpacesNinja(.com)…

 

Echec des Spaces Ninjas ou malversation ?

Marc Van De Roose, poursuivi à travers le monde par ces terribles mercenaires, n’avait plus de lieu où se réfugier. Il vivait dans son dernier bateau « l’étoile de Molenbeeck » et cherchait les criques les plus isolées pour mouiller l’ancre sans jamais rester plus de 2 semaines au même endroit. C’est un jour de novembre 1814 qu’il se trouva coincé dans une crique britannique avec un navire nippon tirant boulet sur boulet sur son bateau ! Il fut coulé sans pouvoir opposer de résistance. C’est là que subsiste un dernier doute : les spaces Ninja ont-ils accepté un pot-de-vin pour l’épargner, ou l’ont-il laissé pour mort ? Toujours est-il qu’on retrouve la trace de Marc Van De Roose quelques semaines plus tard dans le Yorkshire, alors qu’il devenait l’héritier d’un vieux lord sans famille qui comme par hasard mourut alors qu’il venait de refaire son testament au profit du belge


Lord Carsington , complice ou victime ?

Ce vieillard solitaire a-t-il aidé Van De Loose ou a-t-il été forcé à rédiger son testament avant d’être assassiné ? Van De Roose s’installa dans son manoir de St Andrews en Ecosse. On retrouve ensuite sa trace dans des marchés ovins où il eut quelques procès pour escroqueries qu’il gagna grâce à quelques juges grassement rétribués…

De la belgitude à la noblesse

C’est vers 1845 qu’on retrouve dans les archives de l’état-civil la naturalisation anglaise de Van De Roose. Et pendant plus d’un siècle, la dynastie Van De Roose s’est fait connaître pour sa sulfureuse réputation et l’accroissement rapide de sa fortune. Une société écran fut créée pour donner un vernis d’honnêteté aux activités sordides de cette famille belge en l’associant au nom bien britannique de leur « généreux » donateur Lord Carsington, cette société s’appelait « Carsington & Van De Roose ». Le descendant du fourbe Marc Van De Roose, qui s’appelait à l’époque Marc Van De Roose Junior mais qui se faisait appeler Mark Andrews depuis l’école (sans doute inspiré par le nom de la petite bourgade près de son manoir écossais) créa son écurie de formule dé. Il réduisit le nom de « Carsington & Van De Roose »  en « cars & Rooses » Et c’est après quelques performances tout juste intéressantes que Marc Van De Roose Junior décida de corrompre quelques personnalités très haut placées (que nous ne pouvons citer ici) pour obtenir le titre de lord, il changea alors officiellement d’identité pour oublier définitivement les Van De Roose au profit des imaginaires Andrews.

 

Chasser la belgitude, elle revient au galop

C’est ainsi qu’à l’open de Cologne, on put voir le soi-disant britannique Mark Andrews remporter le trophée de pétanque au sein de l’équipe belge. Le célèbre D6D l’a d’ailleurs dit :« quel kastar, ce Van Der Loose ! Il est belge dans l’âme ! »

 

Et aujourd’hui…

Lord Mark Andrews vit paisiblement dans son confortable manoir écossais (quoiqu’un manoir a-t-il des créneaux ?) On dit que des dizaines (centaines) de pakistanais clandestins travaillent dans ses caves. Il posséderait le plus grand troupeau de moutons de Grande Bretagne qu’il nourrirait aux farines animales en dépit de toutes les règles de salubrité publique…

Enfin ! Il est le digne successeur de sa lignée de fourbe mollenbeekois…